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СЛУЧАЙНЫЙ КОММЕНТАРИЙ

# 1387, книга: Ленькина радуга
автор: Анатолий Иванович Мошковский

"Ленькина радуга" — увлекательная и трогательная детская проза, которая увлечет читателей всех возрастов. Книга погружает читателя в волшебный мир, где происходят удивительные события. Главный герой книги — Ленька, обычный мальчик, любящий играть и лениться. Однако все меняется, когда он находит загадочную радугу, которая исполняет желания. Ленька отправляется в захватывающее приключение, используя радугу, чтобы помогать другим и достигать своих целей. Мошковский мастерски создает...

СЛУЧАЙНАЯ КНИГА

Пётр Павлович Ершов - Le petit Cheval bossu

Le petit Cheval bossu
Книга - Le petit Cheval bossu.  Пётр Павлович Ершов  - прочитать полностью в библиотеке КнигаГо
Название:
Le petit Cheval bossu
Пётр Павлович Ершов

Жанр:

Поэзия

Изадано в серии:

неизвестно

Издательство:

SelfPub

Год издания:

ISBN:

неизвестно

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Краткое содержание книги "Le petit Cheval bossu"

Предлагаемая книга представляет перевод сказки П. Ершова "Конек-Горбунок" на французский язык, выполненный М. Свешниковой. В переводе сохранена стихотворная форма текста, персонажи и события.


К этой книге применимы такие ключевые слова (теги) как: Самиздат,волшебные сказки

Читаем онлайн "Le petit Cheval bossu". [Страница - 11]

l’étang,

(Où elle est prise, cette noceuse,

Par les branchies, chahuteuse),

Comme je pense, la grémille vient

Pour trouver le carassin, –

Qui sait? Mais il faut lui dire

Adieu, et on se retire.


Il fait calme à l’océan.

Assis sur le sable, Ivan

Attend que vienne la Baleine,

Gémit douc’ment de la peine;

Son Cheval bossu y dort,

Couché sur le sable d’or.

Déjà, le soir y commence,

Le soleil couchant s’avance,

Des lueurs répandent des feux doux

Du soleil couchant partout.

Il n’y a pas de la Baleine.

“Que les diables te ramènent!

Quel est ce démon des mers! –

Dit Ivan d’une voix amère. –

Elle m’a dit qu’elle trouve la bague,

Avant le soir, sous des vagues,

Pourtant, elle n’a rien trouvé,

La plaisante, qu’elle soit damnée!

Le soleil s’est couché, tombe

La nuit…” Soudain, la mer gronde,

La Baleine-poisson revient

Et dit à Ivan: “Je tiens

Pour ton bienfait ma parole,

Tu vois, j’ai bien fait mon rôle”.

A ces mots, il lève et met

Sur le sable le coffret

Lourd, même la côte se balance.

“C’est fini, c’est ma quittance.

Si tu as encore besoin

De moi, tu m’appelles; eh bien,

Je tiendrai dans ma mémoire

Ton bienfait, adieu, prends gare!”

Alors, la Baleine-poisson

Se tait, puis, elle tombe au fond.


Le Cheval bossu se dresse

Sur ses pattes, se secoue, laisse

Tomber le sable; et il voit

Ivan, le coffret, – de joie,

Il saute: “Ah! La bonne Baleine!

Elle rend la bague de la reine!

Merci, la Baleine, merci! –

Crie le p’tit Cheval et dit, –

Bien, mon maître, prends vite toutes

Nos affaires, mets-toi en route;

Donc, trois jours se sont passés:

Demain, c’est le terme fixé.

Le vieillard meurt de l’attendre”.

Ivan l’interromt pour prendre

La parole: “Avec ma joie,

Je prendrais, mais je n’ peux pas!

Le coffret est très solide,

Je pense, la Baleine perfide

Y a mis cinq cents démons.

J’ai tâché même trois fois, donc;

Il est le plus lourd au monde!”

Le p’tit Ch’val, sans qu’il réponde,

Lève par sa patte le coffret,

Comme une p’tite pierre à jeter,

Et le met sur son cou. “Vite,

Ivan, prends place, et ensuite

Nous partons, car c’est demain

Qu’il faut v’nir, et c’est très loin”.


      La lumière luit matinale,

Ils sont à la capitale.

Le roi court, très impatient.

“Ma bague?” – crie-t-il à Ivan.

Ivan saute du Ch’val par terre

Et va gravement lui faire

La réponse: “C’est ton coffret!

Appelle un régiment: c’est

Très petit en apparence,

Mais ça écras’ra, je pense,

Un diable”. A ses forts archers,

Le roi dit de l’apporter,

Et ils le portent à grand-peine.

Le roi va chez la Fille-reine.

“Ta bague, mon coeur, est trouvée, –

Lui dit-il d’une voix sucrée, –

Et il n’y a pas d’autre obstacle

Pour, si on dit sans débâcles,

Nous marier, ma belle fleur,

Donc, demain, de très bonne heure.

Veux-tu, ma chère, voir ta bague,

Qui était sauvée des vagues?

Elle est là, dans mon palais.”

La Fille-reine lui dit: “Je sais!

A vrai dire, c’est impossible

De faire nos voeux sur la Bible”. –

“Pourquoi non, ma belle fleur?

Je t’aime bien, de tout mon coeur;

Pardonne-moi mon grand courage,

Mais je veux bien le mariage.

Si tu ne… je vais mourir

Du chagrin qui m’est le pire.

Aie pitié, la Fille-reine!”

Elle l’arrête pour qu’elle reprenne

La parole: “Tes ch’veux sont blancs,

Et moi, je n’ai que quinze ans.

Nous marier? Comment? Pour faire

Rire tous les rois: le grand-père

Epouse la p’tite-fille, on dit!”

En colère, notre roi crie:

“Qu’ils essaient! Je les regarde!

Je f’rai un tour! Qu’ils prennent garde!

J’attaqu’rai leurs pays et

Je les, tous, déracin’rai!” –

“Même s’ils ne vont rire guère,

Il n’est pas possible de faire

Nos noces, – des fleurs ne poussent pas

En hiver: je suis belle, toi?..

De quoi est-ce que tu te vantes?” –

Mais l’idée des noces le hante:

“Oui, je suis vieux, mais pourtant, –

Dit le roi, – je suis vaillant!

Si en ordre me remettre,

A tous, je pourrai paraître

Un gaillard hardi! Dis-moi,

Si on a besoin de ça?

Pourvu qu’on fasse le mariage!”

Mais la Fille-reine dit, très sage:

“Le besoin en est comme ça:

Moi, je n’épouserai pas

Un homme ch’nu et laid, un homme

Qui n’ait pas de dents, juste comme

Un vieillard!” – En se grattant

La nuque, il se renfrogne, prend

La parole: “Que faire, ma reine?

Je veux t’épouser; cette peine

Me torture, – tu dis: “Non, non!”

Par malheur et sans raison!”

“Celui qui a sur la tête

Des ch’veux blancs, – elle lui répète, –

Ne s’ra pas mon mari; sois

Un gaillard comme autrefois, –

Je vais t’épouser”. – “Ma chère,

Impossible de le faire,

De renaître; c’est seul Dieu

Qui fait ça”. Elle dit au vieux:

“Donc, si tu n’as pitié guère

De toi, tu s’ras jeune, mon père.

Ecoute, tu dois dire demain

Aux valets, – dès le matin,

De dresser trois grandes chaudières

Et là-d’ssous, – leur dire de faire

Des feux de bois mort; il faut

Verser en première de l’eau

Très froide et bien transparente,

En deuxième – de l’eau bouillante,

En troisième – du lait bouilli

A gros bouillons. Je te dis,

Si tu veux dev’nir beau vite,

Epouser une fille ensuite,

Sans habit, va te plonger

En chaudière de lait chaud, et

Ensuite dans de l’eau bouillante,

Dans de l’eau froide, transparente, –

Tu seras un gars hardi,

Si tu fais ça, je te dis! ”

Sans répondre à la Fille-reine,

Le roi dit qu’on lui amène

Notre Ivan. “A l’océan? –

Lui demande le pauvre Ivan, –

Non, jamais, votre Excellence!

J’ai encore de grandes souffrances!

Du tout, pour aucun trésor!” –

“Cher Ivan, non, pas ça, or, –

Je veux qu’on dresse trois chaudières

Et là-d’ssous, – je dis de faire

Des feux de bois mort; il faut

Verser en première de l’eau

Très froide et bien transparente,

En deuxième – de l’eau bouillante,

En troisième – du lait bouilli

A gros bouillons. Je te dis:

Tu devras dans ces chaudières

Te baigner demain pour faire

Un essai: dans celle de lait

Et dans celles d’eaux après.” –

“C’est d’où que tu me pat’lines, –

Dit Ivan, sans faire bonne mine. –

On n’échaude que des cochons,

Des poulets et des dindons;

Je ne suis ni poule, roi-père,

Ni cochon, pour me le faire.

Je me plonge, peut-être, en eau

Froide, si d’main, il fait très beau.

Si tu te mets à me cuire,

Tu n’as pas de chance, sans dire,

D’allécher. Cesse de ruser,

De faire le malin, assez!”

Le roi branle la barbe en rage:

“Aux disputes, tu m’engages? –

Crie-t-il à haute voix. – Vois ça,

Si tu, quand la nuit s’en va,

Ne fais pas ce que j’ordonne, –

Ne doute pas que je te donne

Au bourreau pour déchirer

En morceaux, pour torturer!

Va-t’en, maladie cruelle!”

Ivan pleure d’une peur mortelle,

Il va à la grange des foins,

Où son p’tit Cheval se tient.


“Tu n’es pas gai au visage,

Ou tu as perdu courage? –

Doit son Ch’val lui demander, –

De nouveau, le vieux fiancé

A eu une idée bizarre?”

Ivan l’embrasse: --">

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